| Miss Ellen, versez-moi le Thé Dans la belle tasse chinoise, Où des poissons d'or cherchent noise Au monstre rose épouvanté. J'aime la folle cruauté Des chimères qu'on apprivoise : Miss Ellen, versez-moi le Thé Dans la belle tasse chinoise. Là, sous un ciel rouge irrité, Une dame fière et sournoise Montre en ses longs yeux de turquoise L'extase et la naïveté : Miss Ellen, versez-moi le Thé. | 
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| POÈME  DE  THÉODORE  DE  BANVILLE MUSIQUE DE MICHEL AGNERAY |